[…] , vantant un fourre-tout électoraliste de dernière minute ». Les petits fours ont parfois un goût amer. Pourtant, maire de Toulouse et patron du département devront bien trouver un terrain d'entente s'ils ne veulent pas mettre les transports toulousains en panne définitive. Déjà, Moudenc a demandé que la participation financière du Grand Toulouse soit réévaluée : « Pas question d'avoir la majorité sans y mettre le prix ». Et les deux hommes doivent discuter « entre quatre z'yeux » à la fin du mois. Au terme de ce que Moudenc appelle la « clause de revoyure », terme plus juridique qu'argotique. Ph.E.