[…] Si on ne veut pas continuer sur la voie du déclin et faire plaisir à Boeing, il faut émettre un signe non équivoque en direction du marché avant que les dégâts déjà faits ne deviennent irréparables. Ceci ne sera pas possible sans une démonstration forte de solidarité entre salariés et dirigeants ainsi qu'entre Français et Allemands.
Jean Roeder, ancien de Deutsche Airbus et Airbus Industrie. Cornebarrieu (Haute-Garonne).