[…] La survie des malades dépend du choix du cancérologue ». C'est le pavé dans la mare lancé hier par Dominique Maraninchi, le nouveau patron de l'Institut national du cancer. Un sujet explosif : les chances de survie varieraient d'un à six suivant l'hôpital où l'on est soigné. Actuellement, un grand plan national d'évaluation des services de cancérologie est en cours. Résultats en 2008.