[…] de jeunes mecs qui se sont retrouvés gonflés de pouvoir et qui se sont pris pour les princes de Paris ». Les anciennes grandes amies, patronnes de Prada ou Tiffany ? « Des pétasses fardées et intéressées ». Les jolies ministres ? « Des tapisseries. Maintenant qu'il n'a plus de first lady, il faut qu'il sorte avec de jolies filles à son bras, habillées en Dior ». Pendant que Brice Hortefeux la traite de « déséquilibrée », elle distribue les bons points aux conseillers de Sarko, alors ministre de l'Intérieur. « Pas confiance », « pas sûr », « nouveau : ne sait rien », « je ne sais pas si je peux t'embrasser ». Aujourd'hui, apparemment, seule compte la reconquête de l'amour de Richard Attias, ce publicitaire avec qui elle était partie en 2005, déjà. « Richard est la personne que j'ai le plus aimé dans ma vie. Je crois que je n'avais jamais aimé, avant lui ». Mais pour l'instant, « il faut lui laisser du temps[…] Je l'ai humilié ». Kadhafi a promis la libération des otages. Cécilia est chargée d'aller les récupérer en Libye. Mais les gardiens font preuve de mauvaise volonté. « C'est le moment de prouver que vous en avez ! » lance-t-elle à ses gardes du corps. Ces derniers font alors sauter les serrures à coups de pistolet, et tous regagnent ventre à terre l'avion présidentiel. « J'ai fait le plus grand casse du siècle, Kadhafi n'avait aucune intention de libérer ces filles ! ». Hier, de multiples réactions se sont élevées pour créditer de peu probable cette version