[…] , c'est une vraie révélation. Le réalisateur, lui, réussit - épars et inattendus - quelques moments sensuels (« Télérama »).[…] Film délicat et juste qui installe son réalisateur comme une jolie promesse dans le paysage du cinéma français (« Le Parisien »).
« Le Bel âge » se nourrit de secrets oubliés, de douleurs enfouies, de sentiments inavoués. Une mise en scène très maîtrisée et des acteurs exceptionnels lui donnent une limpidité, une luminosité étonnante (« Le Nouvel Observateur »).
Sur un sujet tout simple, Laurent Perreau et Juliette Sourbier, sa coscénariste, tissent une fable insolite aux mailles larges et distendues (« Première »).
Bref, cinéphiles ou pas, vous savez ce qu'il vous reste à faire mercredi soir.