[...] La misère spirituelle semble encore mieux partagée que la misère sexuelle! Mais encore plus fort! Le juge inflige au coupable une amende de mille euros qui ira au trésor public, la plaignante elle devra se contenter de 15% de cette somme. C'est donc que l'état souffre plus que la jeune fille! Si au moins, la justice était cohérente, elle dédommagerait le préjudice avant tout. Mais non, elle préfère punir d'abord (en prenant son du au passage), sans s'occuper des états d'âmes pourtant bien en cause dans cette histoire.»