• Christine Lagarde, Boris Boillon et le Premier ministre tunisien M. Ghannouchi./AFP.Christine Lagarde, Boris Boillon et le Premier ministre tunisien M. Ghannouchi./AFP.

[en incompétence] qui leur est fait. » « Notre politique étrangère est placée sous le signe de l'improvisation et d'impulsions successives, qui s'expliquent souvent par des considérations de politique intérieure. Qu'on ne s'étonne pas de nos échecs.[…] Nous devons retrouver une politique étrangère fondée sur la cohérence, l'efficacité et la discrétion », écrivent ces diplomates. Des critiques relayées hier par le PRG, qui juge la France « dépassée. » « Il est urgent que[Nicolas Sarkozy] prenne des mesures énergiques pour redonner au Quai d'Orsay les moyens de ses ambitions », estime Jean-Michel Baylet.
Envie de donner votre avis ?
Réagir
Vous avez droit à 3 commentaires par jour. Pour contribuer en illimité, abonnez vous. S'abonner
Lancez votre recherche
Pour profiter pleinement de l'info, abonnez-vous !
ladepeche.fr