[elle pouvait] aller ». Jusqu'à obtenir au classement l'unique place d'officier para disponible, « pour pas quitter la famille ».
Devenue depuis la première femme commandant d'unité au 3e Rmat, elle n'en fait cependant pas une gloire. Juste un parcours dans lequel la soutient son mari, officier aussi. Les enfants ? « On y réfléchira après avoir savouré ce temps de commandement », répond-elle… à moins qu'elle ne tente l'école de guerre… « Et pourquoi pas ? Les concours sont faits pour être tentés », sourit Malika pour conclure.