[…] , et a fortiori sur l'emploi et le pouvoir d'achat », a-t-il admis. De même, le bouclier fiscal « n'a pas été compris en période de crise ».
Sur 2012, sans évoquer la très probable candidature de Nicolas Sarkozy, M. Fillon a déploré les critiques « injustes et souvent très basses » contre le chef de l'État. « Le président que je connais, celui que je côtoie depuis quatre ans, est bien éloigné des caricatures qui en sont faites ».
Interrogé sur la formule de Nicolas Sarkozy, qui a affirmé « bien sentir » l'échéance de 2012, François Fillon s'est dit « confiant dans l'avenir ».