[…] Ne pas accueillir l'Euro pour la 4e ville de France, c'est une déception qui se transforme en colère quand on voit qu'il n'y a pas eu de débat. »
« On a été récompensés parce que l'on avait l'un des meilleurs dossiers, avec un public très festif et une situation géographique exceptionnelle au cœur de l'Europe », réplique Gervais Martel, président de Lens. Quant à Nancy, la ville a bénéficié de l'absence de concurrence à l'Est, mais aussi du soutien discret mais forcément important du président de l'UEFA Michel Platini.