"Je pense que les gens sont venus en paix. C'est de cela qu'ils ont envie, qu'il n'y ait plus de tueries", expliquait Fari, une fonctionnaire.Les kamikazes de Bruxelles émanaient de la même cellule jihadiste qui avait ensanglanté Paris quatre mois plus tôt sous le commandement présumé du Belgo-Marocain Abdelhamid Abaaoud.