Abonnés En 2016 et 2017, les membres du collectif « Non à Val Tolosa » avaient bloqué le chantier.

Le terrain où devait se construire le centre commercial, à Plaisance-du-Touch

Le plateau de la Ménude à Plaisance-du-Touch

Les 40 hectares du plateau de la Ménude, à Plaisance-du-Touch, où le projet devait se concrétiser

Une vue de synthèse du projet Val Tolosa

Le projet de centre commercial Val Tolosa

Le terrain du plateau de la Ménude, à Plaisance-du-Touch, où Unibail Rodamco projette de construire le centre commercial Val Tolosa

L’assemblée générale du collectif « Non à Val Tolosa »./Photo DDM, C. C.

Le plateau de la Ménude, où se trouvent les terrains destinés au projet de centre commercial Val Tolosa. / Photo DDM archives

Les opposants à Val Tolosa, lors d'un précédent rassemblement sur la zone de la Ménude à Plaisance-du-Touch où devait être réalisé le projet de centre commercial. / Photo DDM archives, F. C.

Une vue du projet Val Tolosa sur le site de la Ménude à Plaisance-du-Touch.

Le Conseil d'État a confirmé l'annulation d'un arrêté concernant le sort d'espèces protégées./ Photo DDM, Y. S.

Une vue du projet Val Tolosa

Ceux qui souhaitent sauvegarder l'étendue naturelle du plateau de la Ménude restent mobilisés. / Photo DDM.
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L'une des quatre boîtes à lire ici installée sur la place Jean Ferrat au pied du château d'eau. / Photo DDM

Le trésorier et les deux coprésidents lors de l'assemblée générale du collectif Non à Val Tolosa et Présence des Terrasses de la Garonne./ DDM

Lors de l'assemblée générale du 17 janvier 2018./ DDM CC

Une manif, samedi, pour rouvrir la RD 24./ DDM, archives

Philippe Guyot, adjoint au maire de Plaisance-du-Touch et président de l'association pour le «Oui à Val Tolosa», défend l'intérêt public majeur du projet.

Les opposants ont encore manifesté sur le site début juin./ DDM, Frédéric Charmeux

Louis Escoula met en avant un projet plus global que le seul centre de loisirs Val Tolosa./ DDM Nathalie Saint-Affre

Les opposants ont organisé un rassemblement "Printemps Arable" pour dire non au projet

Christophe Farbos  : «Ce sont 1500 à 1800  emplois non délocalisables»

Les opposants manifestent aujourd'hui
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