Deux écrivains sont rapidement cités par Guillaume Sire quand on lui demande quels sont les livres qui l’ont marqué. « Quand j’écrivais Avant la longue la flamme rouge, j’ai relu Malraux, que j’avais survolé un peu trop vite quand j’avais 18 ans et qui est immense. Mais pour moi, le plus grand des plus grands, que je relis régulièrement c’est Shakespeare. C’est tellement la vie, drôle et tragique à la fois. »