Roland Cassiau se sert toujours de son Minitel pour gérer le réseau téléphonique du tournoi. "Je n’ai pas envie de me casser la tête à apprendre autre chose, c’est la simplicité, puis quelque part, il y a un peu de nostalgie aussi", avoue-t-il. Une technologie surannée qu’il maîtrise bien puisqu’il a travaillé chez France Télécom aux débuts du Minitel. "J’étais au service commercial et j’avais des objectifs de placement", se souvient-il.