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Le départ du comité d'interface, en octobre 2021 ; mais aussi, en novembre 2020, l'appel lancé aux habitants du boycott de toute "étude commanditée par la préfecture, l'ARS, la DREAL ou le BRGM" ; ou encore, en septembre de la même année, le qualificatif d'étude "bidon" octroyé à une enquête d'imprégnation sur les enfants de 3 à 11 ans. Cette sortie des associations sur l'étude de poussières est une étape de plus qui caractérise la défiance à l'égard des institutions. Un état des lieux dont sont bien conscients ceux qui participent encore au comité d'interface. Le même Claude Ruiz, rappelant les "préoccupations et attentes de la population", évoquait le 16 décembre les délais de rendus des études : "Ce temps de latence joue contre tout ce que l'on peut faire vis-à-vis des gens." Un sentiment décliné par le médecin conquois Henri Montespan : "Les associations qui boycottent notre réunion sont dans l'idée qu'on masque des choses, qu'il y a rétention d'information, que nous ne disons pas la vérité. Donc, il faudrait être réactif."
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