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Une partie des agents de l’Ehpad de la Coustète, et une partie seulement, ont – dès le 14 janvier – signalé par courrier "un déficit de gestion humaine et administrative de l’établissement". Les agents évoquaient alors "une situation alarmante" qui s’est "considérablement aggravée ces dernières semaines avec, de guerre lasse, les départs volontaires de trois infirmiers sur quatre et un absentéisme récurrent pour les aides soignants lié à des conditions de travail toujours plus compliquées et épuisantes pour tous les agents". "Signaler ou se taire ? Nous avons hésité. Aujourd’hui, notre démarche nous paraît juste et justifiée", concluent-ils.
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