- soit l’intervention a eu lieu dans les temps, et lorsque le testicule est repositionné, il reprend peu à peu sa couleur normale, signe d’une revascularisation ;
- soit le testicule atteint est nécrosé, il faut l’enlever afin d’éviter une infection susceptible d’entraîner la perte du second testicule, voire des conséquences plus graves comme un choc septique. "Une prothèse peut être proposée secondairement, pour des raisons esthétiques, afin que le scrotum ne semble pas trop vide", précise l’AFU.